UN POLICIER IVOIRIEN PAS COMME LES AUTRES
Je quitte Ouagadougou le samedi 24 Juillet, à 6 heures du mat’. Après treize heures de trajet, je suis de l’autre côté de la frontière, en territoire ivoirien, sur la voie menant à Ferkéssedougou où j’ai le malheur d’avoir un pneu crevé et irrécupérable. Il est 20 heures moins, mais l’isolement et l’obscurité de la zone broussailleuse donne l’impression qu’il est minuit. Je conduis malgré la crevaison jusqu’à m’immobiliser à…